« Ce programme renforce la solidarité entre tour-opérateurs. Il nous rassemble autour d’une action durable, bénéfique pour les populations avec lesquelles nous travaillons. Cet engagement collectif s’inscrit pleinement dans les politiques environnementales françaises et européennes. Contrairement à tant d’initiatives qui restent des discours. »
« Nous trouvons l’initiative Setosphère remarquable. Ce programme est très pragmatique : en nous regroupant, nous pouvons accéder à des crédits carbone à meilleur prix et financer des projets de grande qualité. »
« Ce n’est pas un programme parachuté de l’extérieur, c’est un projet qui nous appartient, conçu pour nous, par nous, et entièrement financé par le syndicat. Et ça change tout. On peut se l’approprier pleinement. Il est accessible à tous, y compris aux équipes, qui peuvent même aller visiter la région et le village où sont fabriqués les fameux fours. C’est une manière très concrète d’entrer dans une démarche durable. »
« On ne parle pas juste de belles paroles ou de promesses vagues : ici, il y a une véritable volonté de limiter les émissions de gaz à effet de serre à travers une action précise et mesurable. C’est la première fois, à ma connaissance, qu’on voit quelque chose d’aussi concret dans le secteur. »
« Setosphère est l’illustration d’une action collective sérieuse, à travers la mise en place du programme Jiko Sawa. C’est une démarche encadrée, qui repose sur une traçabilité rigoureuse et répond à de nombreux critères de certification environnementale. Soutenir ce mouvement, piloté de manière professionnelle, est pour nous un gage de sérieux. »
« Avec l’entrée de Setosphère dans une seconde phase, notamment via le programme des fours améliorés au Kenya, notre engagement est devenu beaucoup plus concret. C’est d’ailleurs bien plus tangible que des programmes de reforestation, parfois difficiles à évaluer. Nous avons donc choisi de participer dès le lancement. »
« Ce que j’apprécie tout particulièrement, c’est que ce soit une initiative portée par une structure de filière, et pas seulement par une entreprise isolée ou un individu. Cela permet à des PME comme la nôtre de participer. Tout le monde peut contribuer, il n’y a ni seuil minimal, ni critère d’entrée. Chacun peut s’engager à la hauteur de ses moyens, et c’est ce qui est essentiel à mes yeux. Parce que, soyons lucides, tout n’est pas possible pour tout le monde. C’est compliqué. Mais ce qui compte, c’est d’avancer, pas à pas. »
« Lorsque Setosphère nous a sollicités pour contribuer à l’amélioration des conditions de vie des communautés autochtones via le programme Jiko Sawa, nous avons immédiatement reconnu des valeurs communes. L’Agence Internationale de l’Énergie estime que plus de 2 milliards de personnes utilisent encore des modes de cuisson polluants. »